C’est ce que vous avez indiqué quand vous avez contacté Nurse Sévère sur Fessestivites. Cela vous plaisait de vous imaginer chez elle, obligé de porter des couches et d’être contraint d’être habillé en petite fille.

Les fantasmes seraient sans saveur s’il n’y avait pas la tentation d’y succomber.

Et c’est ce que vous avez fait après x et x nuits de réflexions manuelles sous votre couette, après avoir passé des heures à mater des photos sur Abkingdom puis des vidéos sur Fessestivites.

Lorsque vous montez dans le train pour aller dans sa nurseries à Paris, vous portez une couche comme elle vous l’a imposé. Vous aviez tellement peur quelle se voit que vous portez aussi un pantalon de survêtement ample d’une taille au-dessus de celle qu’il vous faut. Comme demandé, vous vous êtes aussi douché et parfumé, Nurse Sévère n’aime pas recevoir les cradingues. Elle vous a prévenu que si vous sentiez la transpiration et sans couche quand vous arriverez, elle vous virerez sur le champ.

En face de vous dans le TGV, une superbe fille vous regarde d’un air aguicheur, si vous n’étiez pas en couche, vous tenteriez bien un rapprochement physique, la place à côté d’elle étant libre. La discussion va bon train (sans jeu de mot) vous êtes pris d’une monstrueuse envie d’aller arracher cette couche dans les toilettes et de l’y abandonner sans honte. Gros vilain !

Quand une envie pressante vous vient, vous savourez le plaisir de vous laisser aller doucement tout en discutant à bâton rompu. Votre imagination poursuit sans aucune retenue, vous imaginez ce chef d’oeuvre de la mère nature jouant avec vous en couche. Bloqué entre vos jambes dans une Molicare, votre sexe se rebelle, il aimerait pointer vers les étoiles mais ne le peut. Amélie accepte votre numéro de téléphone mais ne vous donne pas le sien, elle va réfléchir. Vous cédez à la tentation de lui offrir à verre à la gare de Lyon quitte à arriver en retard chez Nurse Sévère. La discussion se poursuit autour d’une bière pour vous et d’un coca pour elle. Lorsqu’elle vous annonce qu’elle doit vous quitter, vous prenez conscience que vous êtes déjà en retard.

Dans les couloirs du métro, vous courrez plus vite que les parisiens, votre couche chargée freine rapidement votre course, elle risque de vous lâcher, ce serait une catastrophe devant autant de monde. Une demi-heure plus tard, vous êtes devant la porte indiquée par Nurse Sévère. Votre doigt tremble au moment d’appuyer sur la sonnette dont le bouton est bleu. Il vous semble même trop haut ! Quand enfin vous avez le courage de sonner, vous commencez à transpirer de peur. Ce sera la première fois qu’une femme vous voit en couche et s’occupe de vous. Le « clic » de la porte d’entré vous fait bondir, vous attendez un instant que quelqu’un sorte puis prenez conscience qu’il n’y a personne, que c’est Nurse Sévère qui vient de vous ouvrir.

En entrant dans le couloir vous l’apercevez. Une grande blonde, plus charpentée que vous vous attend sur le pas de sa porte. Son visage et sa voix vous laissent à penser qu’elle est norvégienne. Elle vous fait la bise dans le couloir et vous invite à entrer. La porte à peine fermée, elle vous attrape par l’oreille et vous fait mal.

• Tu as 45 minutes de retard, cela va se payer ! Vous dit Nurse Sévère en vous tirant par l’oreille dans sa nurseries.

Vous n’en menez pas large, cette femme vous impressionne tout autant que de savoir qu’elle va être votre nurse. Vous bredouillez des excuses, un retard de la SNCF et ajoutez même que le mot « retard » est un pléonasme de « SNCF ».

• Tu mens, j’ai téléphoné à la gare, il était à l’heure. Ce n’est pas beau de mentir et de mettre la faute sur les autres. Cela va se payer aussi vilaine !

Le fait qu’elle vous indique « vilaine » au lieu de « vilain » vous trouble, elle a gardé en tête vos fantasmes et compte bien en jouer. Conduit devant la table à langer, elle baisse votre pantalon de survêtement et votre slip. La couche pendouille entre vos jambes et menace de glisser. Elle place une Kiddo de chez Diaper-minister sur la table avant de retirer la votre qu’elle jette dans une poubelle avant de vous inviter à vous asseoir. Nurse Sévère retire votre tee-shirt puis vous allonge sur la table à langer. A l’aide de lingettes, elle nettoie votre intimité et n’hésite pas à passer entre vos fesses. Vous devenez rouge comme une pivoine. Votre sexe commence à réagir et à prendre de l’ampleur, elle n’a aucune réaction, hormis vous attacher les mains.

Pour finir de mettre la couche, elle vous demande de lever les jambes. Vous vous exécutez immédiatement sans même réfléchir que vous allez lui offrir une vue imprenable sur votre intimité. Et là, elle rabat si bien vos jambes que vos genoux touchent votre poitrine. Avant que vous ayez le temps de réagir, Nurse Sévère passe une sangle sous vos cuisses et les bloque. Vous êtes dans l’incapacité de protéger votre intimité et surtout vos fesses.

• Si je fais le bilan, tu es arrivé tout transpirant et tu m’as mentie en disant que le train avait du retard. Deux fautes impardonnables que tu vas payer de suite. Vous indique Nurse Sévère en sortant de dessous sa table un paddle en chêne de chez ABCplaisir.

Avant même que vous ayez le temps de dire « non », le paddle s’abat sur vos fesses. La douleur vous arrache un cri, vous avez l’impression que votre épiderme prend feu. Affolé vous suppliez en essayant de vous débattre quand elle vous annonce que vous allez recevoir trois coups par faute. En position diaper la fessée est toujours plus douloureuse que sur les genoux, avec un paddle en chêne c’est pire. Même si vous n’êtes pas douillé, les larmes montent à vos yeux. Toujours sans aucune précaution pour votre pudeur, elle pose son paddle et entreprend de vous mettre de la crème pour apaiser le feu.

• Madame, je souhaite arrêter et partir. Libérez-moi s’il vous plait.

• Non, tu m’as bien indiqué qu’il fallait être sévère avec la vilaine fille que tu es, quitte à t’obliger à être sage par tous les moyens à ma convenance. Tu as payé, tu auras ce que tu as payé.

• Ce n’est pas grave, gardez l’argent je m’en moque, c’est cadeau pour vous.

• Non, quand Nurse Sévère s’engage, Nurse Sévère fait. Je te conseille d’être sage.

Dépité et sans voix, vous ne dites plus rien et vous laissez masser les fesses avec cette pommade qui semble chauffer de plus en plus. (Arnican freeze vendue en pharmacie et qui est géniale après la fessée.... ou dans la couche) En la voyant approcher un pied à perfusion à roulette vous prenez peur. Quand elle y accroche une poche à lavement avec son tube, votre estomac se noue. Malgré vos réfutations, la canule de la poche à lavement vintage trouve sa place entre vos fesses. Lorsque vous criez elle vous traite de chochotte et vous claque la cuisse en l’introduisant profondément. La claque a détourné votre attention, la canule est passée toute seule, la position diaper facilitant d’autant plus le passage. L’eau froide s’introduit en vous, Nurse Sévère masse votre ventre pour faciliter son passage en vos entrailles nouées de peur.

• Avec ce lavement, bébé sera bien propre et dormira mieux ! Vous indique Nurse Sévère en agitant la canule dans votre fondement.

Vous êtes mal à l’aise, c’est la première fois qu’on vous fait un lavement et qu’une femme touche votre anus ainsi. Un quart d’heure plus tard, elle baisse le bas de la table à langer, vos fesses sont dans le vide. Elle place un seau contre vos fesses et vous demande de pousser. Si vous sentez bien qu’il faut que cela sorte, vous n’arrivez pas à vous décider de rejeter le lavement, vous avez trop honte. Nurse Sévère s’impatiente, claque votre cuisse puis appuie sur votre ventre, un jet part suivi du reste du lavement. Elle insiste pour que vous continuiez à pousser en vous disant qu’il y en a encore, vous dites que non, elle claque une seconde fois vos cuisses en vous disant qu’elle n’aime pas qu’on lui dise « non ». Finalement, vous constatez qu’elle avait raison, votre intestin n’était pas totalement vide. Le seau vidé aux toilettes dont vous entendez la chasse d’eau, Nurse Sévère revient vers vous et finit de vous langer.

Vous bénissez la couche qui protège enfin vos fesses. Elle libère vos cuisses et vous demande d’allonger les jambes sur la table qui a repris sa position initiale. Vos fesses chauffent, putain de crème ! Nurse Sévère entreprend de vous mettre des collants blancs avec de petits noeuds roses puis vous demande de soulever vos fesses pour l’aider. Dans l’état psychologique où vous êtes, vous abdiquez à sa demande immédiatement. Elle libère vos bras et vous enfile une robe en PVC avant de poser sur votre tête une charlotte blanche en tissu bordé de dentelles. Vous ne vous êtes jamais senti aussi cruche mais ne vous aventurez pas à râler, cela fait trop mal de râler ici !

• Allez bébé, vient on va câliner un peu. Vous indique Nurse Sévère en vous tendant la main.

Son sourire ensorceleur enflamme votre coeur, un peu de douceur ne vous fera pas de mal. Elle vous attire sur ses genoux après s’être assise sur le canapé. Vous y prenez place comme la petite fille que vous êtes devenue. Avec une extrême douceur, ses doigts caressent votre visage pendant que son bras gauche vous serre contre sa généreuse poitrine, un havre de paix après ce qu’il vient de vous arriver. Lorsqu’elle attrape le biberon que vous aviez aperçu avant de vous asseoir, vous vous abstenez de lui dire que c’était « petite fille » et non pas « bébé » que vous aviez choisi comme programme. Et là, vous tétez sans rechigner et commencez à planer dans un autre monde. Le biberon terminé, ses doigts reprennent ses tendres caresses sur votre visage, vos yeux se ferment comme pour en savourez l’extrême douceur. Vous la trouvez plus aussi sévère, au contraire, on dirait une maman. La maman qui vous a tant manqué dans votre jeunesse à cause d’un prédateur de la route alcoolisé.

Vous alliez vous endormir dans ses bras quand elle vous demande de vous lever pour aller vous coucher. Votre nouvelle maman vous tient la main et vous guide jusqu’à la chambre à bébé. Les motifs du papier peint s’accordent à merveille au grand lit à barreau dans lequel vous prenez place avec plaisir. Nurse Sévère vous place des moufles cadenassables (De chez ABCplaisir) qu’elle verrouille soigneusement avant de rabattre un couvercle anti fuite sur le lit de bébé. Vous sombrez dans une douce léthargie en goûtant sans réserve les caresses qu’elle vous fait en vous chantant une berceuse.

DEUX HEURE PLUS TARD

Nurse Sévère vient vous réveiller et vous indique qu’il est tant de vous lever. Elle vous libère et vous guide dans la nurseries. Un bébé adulte joue dans le parc ! ! ! Vous deviez être seul et lui demandez de vous changer, seul dans la chambre.

• Non ! Quand Nurse Sévère s’engage, Nurse Sévère fait. Tu as payé trois heures, tu auras trois heures. Si tu voulais être seul, tu n’avais qu’à être à l’heure. Ce bébé qui est dans le parc est un habitué, ne t’inquiète pas.

Et là, vous êtes à nouveau blême. Quelqu’un d’autre que votre nurse vous voit habillé en bébé fille. Vous résistez quand elle vous demande de monter sur la table à langer. Nurse Sévère vous fait voir le paddle et vous demande à nouveau de monter sur la table pour qu’elle vous change. Complètement anéanti vous abdiquez, prendre une fessée ne vous séduit pas, encore moins devant quelqu’un. Rapidement dévêtu, vous vous retrouvez intégralement nu. Votre maman vous fait la toilette et vous change, cette fois vous n’opposez aucune résistance et vous laissez faire sous les yeux d’un inconnu qui joue avec un hochet. Habillé et coiffé, vous êtes raccompagné vers la sortie où elle vous fait de grosses bises sur la joue avant de refermer la porte.

Sur le palier, vous vous demandez si vous n’avez pas rêvé. C’est en arrivant à la gare que vous constatez que vous avez loupé votre train, qui lui, était à l’heure. Vous vous rendez au guichet pour changer votre billet, la queue n’en finit pas. Les gens râlent et vous apprennent qu’un mouvement de grève vient de démarrer et qu’il n’y a plus de train jusqu’à demain. Vous pensez alors à blablacar quand soudain, une crampe dans le ventre vous fait sentir qu’il doit rester un peu de lavement. Votre téléphone portable sonne, vous décrochez.

• Coucou toi, c’est Amélie. Je suis derrière toi sous l’horloge. Mon père vient me chercher, cela t’intéresse de monter avec nous ? On doit pouvoir te déposer à Lyon

Et là, vous êtes dans la M..... (Au sens figuré)

Ecrivaillon

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